C’est en relativement petit comité , 13 avec Françoise qui nous rejoint au parking du col du Granier sous la conduite de Michel M. que nous prenons le sentier qui doit nous mener à la Lentille pour atteindre la Pointe de la Gorgeat et finir par le Mont Joigny avant de fermer la boucle juste avant de retrouver le parking.
Nous démarrons lentement pour échauffer doucement les mécaniques dans le froid relatif qui règne en ce début de randonnée. Après le passage des de la Cochette, la pente se redresse et assez vite le sentier serpente en bordure de falaise où le gaz est bien présent, la boue aussi d’ailleurs et il faut être vigilant. Un peu plus loin, Michel nous annonce que les difficultés sont maintenant derrière nous, mais si en effet il y a 12 cabris dans le groupe du jour, Alain le 13ème ne fait pas le malin et apprécie les parades de notre guide du jour, qu’il en soit ici loué.
Pointe de la Gorgeat un vent frais s’est levé et l’unanimité se fait sans problème sur la recherche d’un coin plus propice au casse-croute si possible sans vent. Avant nos petites agapes, Alain partage Apremont et kir pour fêter dignement son nouveau véhicule, il parait que c’est une tradition azimutienne… Je pense plutôt qu’il s’agit d’une excuse pour boire un coup, c’est de bonne guerre. Les friandises circulent mais pas le cake ni le pousse café, bien sûr Gilbert n’est pas là aujourd’hui!
Et là dilemme, plan A ou plan B pour la suite, version Mont Joigny ou directissime vers le col. La décision est vite prise, il ne fait pas très chaud après le repas, la description donnée par Michel de l’option A n’est pas des plus engageantes, alors ce sera au plus court et comme ça on verra les ammonites magnifiques présentes sur le parcours, c’est vrai qu’il y a des millions d’années la mer était à la place de la Chartreuse.
Descente rapide avec les crampons pour certains pour mieux parer les glissades sur la partie glace et boue du début après quoi c’est débonnaire et on peut se laisser glisser jusqu’au parking après 14km et 700m de D+. Merci Michel pour ce joli viron.
Alain M.
1 commentaire
ZIOLKOWSKI Anne-Marie · 18 décembre 2022 à 19h13
Même si la mer y fut présente…pas qestion pour autant, d’enfiler le maillot !