Nous partirons d’Eybens à 11 personnes avec un beau temps relatif mais agréable et surtout sans pluie.
Un bémol pour commencer : le parking du Verdelet annoncé est un Parking relais payant…Trop tard, impossible de reculer sans gêner la circulation et pas question de rester là. Francis joue le magicien : la barrière se lève et nous changeons de parking !
La troupe rassemblée amorce la montée par le parc du château juste derrière le vélodrome. Le terrain est sec malgré le déluge il y a deux jours. Le sentier rocailleux et bien raide, direction de Romage débouche sur les pâturages bien vert au sud du village et la vue sur Grenoble, le Vercors, la Chartreuse est un peu voilée ( pollution ou sable du désert ?)
Petit arrêt restauration près de la fontaine de Romage avant de reprendre la montée bien tracée mais intense vers la colline des Civières. Avant d’entamer la sente qui nous conduit au sommet, nous traversons la petite route des Maquis. En face, chemin large en sous-bois bordé de châtaigniers indiquant notre destination mais au bout d’une centaine de mètres force est de voir que nous contournerons les Civières et sans grimper la bosse sommitale. OUPS ! Et pourtant rien n’a bipé et sur mon plan une pastille indicative masque le début de la sente que l’on devait emprunter un peu plus sur la droite.
La récolte de châtaignes sur le parcours déforme les poches et calme la frustration…
Direction le col du Gourlu et les batteries du Murier sont nos objectifs pour le pique-nique.
Empruntant tour à tour le sentier forestier et les sentes bien marquées, Marie Thé nous guide par un collet et une ligne de crête au col du Gourlu bien identifié par la ligne haute-tension. Le coin sympa des Batteries est aménagé : tables, pins et soleil sont au rendez-vous.
Nous nous attardons un bon moment et souhaitons par téléphone l’anniversaire de notre président en train de s’arroser à Névache.
Le retour par le village de Bigot se fait sans hésiter. Cependant la traversée du bois de Pisalis réserve des surprises. La table d’orientation sur Grenoble et ses environs fait l’objet de photos et bla-bla et surtout un énorme troupeau de brebis et chèvres attirent notre attention. Les quatre impressionnant pâtous nous signifient de passer notre chemin.
Sagement, la poursuite de notre boucle nous ramène par la bifurcation des Verdelette sur l’itinéraire de retour au-dessus de Poisat et Eybens.
En conclusion, nous avons profité d’une bonne journée agréable relativement ensoleillée. Seul jour sans pluie de la semaine !
Aline P
French
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