Actuellement les plaines et les montagnes de notre région sont vraiment bien arrosées par d’intenses pluies ! Aurons-nous aujourd’hui une journée d’accalmie comme cela est annoncé ? Nous sommes 13 randonneurs (euses) chevronnés à tenter notre chance !

Michel M, nous emmène dans les Bauges, au-dessus d’Aillon le Jeune au parking : La Chartreuse. C’est un couvent… alors silence… pas de bâtons qui tapent sur la route ! Nous suivons cette petite route plus ou moins gelée avec les raquettes sur le dos. Arrivés à La Combe d’Aillon, nous les chaussons tous sauf Michel C, les raquettes ne sont pas ses copines !

Dans la montée, le Mont Colombier nous domine, une coulée de neige ou petite avalanche s’échappe de son sommet. Après quelques traversées de ruisseaux un peu acrobatiques nous découvrons le chalet Muret.

Le soleil et le ciel bleu sont bien au rendez-vous ! Ici Michel C. estime qu’il ne peut pas échapper aux raquettes vu la hauteur de neige à 1290m. Il enfile ses sortes de palmes à contre cœur !

Nous atteignons le point le plus haut 1420m et redescendons sur le col et les chalets de la Fullie situés face à nos beaux sommets des Bauges : Le Trélod, Le Pécloz oh oh !

Plus loin, Marie Claire voit que le plastique à l’avant de sa raquette est cassé, s’ensuit un épisode de réparation avec un lacet… toujours avoir un lacet dans son sac !

Après un long parcours sinueux dans la forêt, nous arrivons au chalet de la Cha où s’impose la pause déjeuner face à L’Armenaz, la dent de l’Arclusaz et ses acolytes. Nous profitons à fond de ce beau panorama, des rayons de soleil et de la température plutôt clémente…Les papillotes et autres friandises circulent.

Mais notre route ne s’arrête pas là et une montée pas forcément bienvenue pendant la digestion, nous amène à bien nous concentrer sur notre rythme respiratoire. Celle-ci nous mène au Mont de la Vierge, puis sur une crête bien dégagée sur les massifs enneigés.

Nous abandonnerons le Mont Pelat prévu initialement, les forces se sont épuisées dans la neige molle, de plus la nuit tombe vite à cette période de l’année,

Aussi nous entamons la descente vers Aillon, une belle pente que Geneviève préfère faire sur les fesses …heureusement quelques arbustes sont là pour l’arrêter ! Pas de dommages, le corps bien au frais seulement ! Mais ne faisons pas les malins… plusieurs chutes sans gravité s’échelonneront le long du trajet !

Bilan D+ 616m et 11 km

Nous finirons par un petit détour à la ferme-fromagerie bien odorante !

Merci Michel M. pour ce parcours en boucle pas toujours évident à repérer.

Claudine M.

Catégories : BaladesRando

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